En 2017, une nouvelle année au Festival de Cannes.
Troisième année, plusieurs changements importants au Palais des Festival et bien entendu, un petit blog gentiment « oublié » … Voici donc mon résumé de cette édition, une année spéciale car fêtant les 70 ans du Festival.
Cannes 2017, c’était pour moi
6 Films en Sélection Officielle
In the Fade (Fatih Akin) ⭑⭑⭑
The Meyerowitz Stories (Noah Baumbach)
Rodin (Jacques Doillon)
Wonderstruck / Le Musée des Merveilles (Todd Haynes) ⭑⭑⭑
Hikari / Vers la Lumière (Naomi Kawase) ⭑⭑⭑⭑⭑
Jupiter’s Moon / Jupiter holdja (Kornél Mundruczó) ⭑⭑⭑
1 Long-métrage Hors Compétition
How to Talk to Girls at Parties (John Cameron Mitchell) ⭑⭑⭑
1 Évènement du 70e Anniversaire
Nos années folles (André Téchiné) ⭑⭑⭑
2 movies de la Sélection « Un Certain Regard »
Fortunata (Sergio Castellitto)
Wind River (Taylor Sheridan)
2 pellicules de la « Quinzaine des Réalisateurs »
Jeannette, l’enfance de Jeanne d’Arc (Bruno Dumont)
The Rider (Chloé Zhao) ⭑⭑⭑⭑
2 Visions de la « Semaine de la Critique »
Ava (Léa Mysius)
Sicilian Ghost Story (Fabio Grassadonia & Antonio Piazza) ⭑⭑⭑
Soit un total de 14 films (17 en 2015 et 15 en 2016), des litres de café, aucun coup de soleil, énormément de séances manquées cette année-là, de belles découvertes et encore beaucoup de kilomètres !
De mon troisième Festival de Cannes, je garde une impression de fatigue, de chaleur, de lassitude. Est-ce vraiment possible d’être lassée de cette manifestation unique au monde ? En 2017, oui, c’est ce que j’ai ressenti (et non, je ne crache pas dans la soupe !). La longue attente sous le soleil, le couperet qui tombe juste devant soi (« désolé, plus de places »), le jeu des horaires (« si je ne passe pas pour ce film, aurais-je le temps d’aller faire la queue pour celui-là ? »), le jeu des accréditations…
Mon plus beau souvenir ? Hikari, passée in-extremis dans la salle et… Une explosion de couleurs, de beauté et de délicatesse !
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